Madame Andrée GUILLETnée CHARPENTIER
Aujourd'hui, le 15 décembre 2016, il y a un an que tu fermais doucement les yeux.
Malgré mon déchirement, ma douleur s'est alors faite discrète, comme tu le souhaitais.
Seule, la pensée de la fin de tes souffrances m'a aidée à surmonter ce vide laissé par ton départ.
Pourtant, tu me manques encore tellement que parfois, j'aimerais te faire part de mes joies, de mes projets.
Mais malgré tout, je suis persuadée qu'à chaque instant, tu as ton regard bienveillant sur moi.
Continue d'être mon ange gardien.
Avec toute ma tendresse et pour toujours.
Ta fille, Françoise.
Mis en ligne le Jeudi 15 Dec 2016