Albert DEROUETDéjà 2 ans sans toi. Tu nous manques abominablement.
Josiane, ton épouse;
et Alexandre, ton fils.
Comment on arrive à ne plus penser chaque jour, chaque heure à celui qui n'est plus là.
Comment on résiste à ces détails insignifiants : une musique, un endroit, un sport, un geste qui renvoient instantanément à celui qui n'est plus là.
On a beau s'occuper l'esprit, se lancer dans de nouvelles actions ou même se concentrer sur des occupations ordinaires, toujours ça revient comme une maladie de vieillard.
On parle avec des gens, mais l'autre n'est pas là pour nous soutenir ou nous contredire, on sourit dans des dîners, on fait ses courses, mais on n'achète plus pour deux, on prend des trains, des avions, mais ce qui frappe c'est le défaut de l'autre, sur les anciennes photos, il était là.
Mis en ligne le Lundi 22 Février 2016