CHRISTIANTu te souviens de ce dimanche de novembre 2014, lorsque nous étions la main dans la main, lorsque ton cœur a cessé de battre.
Quoi de plus injuste que ton départ. J'ai cru te perdre.
Je t'ai cherché désespérément et doucement, tu es venu te poser sur le coin de mon épaule et tu ne m'as plus jamais quittée.
Chaque jour, tu me rassures et me réchauffes le cœur.
Tu es invisible, mais toujours présent.
Tu étais une très belle personne et je ne cesserai de le dire.
Les liens du sang et du cœur nous lient à jamais.
Tu me manques terriblement.
Je t'aime.
Ta petite sœur, ton petit bouchon,
Manuela.
Mis en ligne le Lundi 30 Novembre 2015