FRANCOISChou, voici un an, le 23 février, que la maladie t'a enlevé à moi, bouleversant à jamais ma vie.
Le temps n'a pas effacé ma douleur, j'ai juste appris à vivre sans toi.
Tu navigues au fil de l'eau comme tu l'as toujours désiré.
Parler de toi, c'est te faire exister, ne rien dire serait t'oublier.
Tu nous manques tellement.
Que ceux qui t'ont connu et apprécié aient une pensée pour toi en ce 23 février.
Ton épouse, Maryvonne;
Sylvia, Céline, Christophe,
et tes petits-enfants.
Mis en ligne le Samedi 23 Février 2013